C'est aussi très différent d'un "simple" salon du livre, où on dédicace quasiment toute la journée : là, j'ai parlé dans des tables rondes, et dédicacé (un peu) pendant l'heure qui suivait... ce n'est donc pas un salon pour signer des tonnes de livres. Par contre, c'est un sacré rassemblement de professionnels, et les échanges et contacts sont très très riches !
Bref, très bien !
Mes livres étaient là ! |
Les trottoirs de Nantes... |
Vendredi après-midi, comme c'était plus calme pour moi, j'ai pu relire le bon à tirer (dernières épreuves) de "Papa de Papier", mon prochain roman, qui sort en janvier chez Syros (je vous en reparle bientôt).
Et samedi avaient lieu les premiers "états généraux" de l'imaginaire, l'occasion de faire un constat sur les chiffres du milieu, et d'essayer de proposer des solutions pour casser les a-prioris sur nos genres ! On verra bien ce que ça donne, mais ça a le mérite d'exister et d'essayer !
Samedi soir, il y avait la remise de prix (où l'effet Ricochet était sélectionné au prix jeunesse) : le roman n'a pas gagné, mais c'est celui de Taï-Marc Le Than ("Le jardin des épitaphes") qui a remporté le prix et comme Taï-Marc est quelqu'un de super, je suis vraiment contente pour lui !
J'ai croisé (et papoté avec) un nombre incalculable de gens sympas et je les embrasse au passage !
Vraiment, je garderai un très bon souvenir de cette première fois aux Utopiales !!!
Je suis ravie pour ce festival de voir qu'il a attiré autant de monde ! J'imagine que pour toi, cet événement est aussi riche que fatigant (alors on va dire que c'est de la bonne fatigue ?).
RépondreSupprimerHonnêtement, c'est quand même moins fatiguant qu'un salon où on signe toute la journée (où on répète les résumés en devant parler plus fort que le bruit de la foule... ce qui oblige à prendre un cachet contre le mal de crâne le soir). Là, non : on travaille, mais on voit aussi les copains, on a le temps de regarder les expos, quelques films, écouter une table ronde ou deux... La balance penche donc du côté positif !
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