31 octobre 2022

[Writer's Week] du 24 au 30 octobre 2022

 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

Hé bien, cette semaine a été entièrement consacrée à La Cité du Savoir : les corrections de fond, première étape avant les corrections de forme qui viendront plus tard (je rappelle que le roman sort en septembre 2023).

Il y a aussi eu des visios pour préparer des rencontres et le feuilleton des Incos pour lequel je participe cette année, à nouveau (c'est chouette, je vais pouvoir écrire un roman bonus qui attend son tour depuis longtemps !).

Et j'ai fait un petit aller-retour dans les Bauges... avec, en tête, une possible nouvelle aventure des Chevaliers de la Raclette, mais chut, pour l'instant, c'est encore en réflexion.




Quoi d'autre ?

Pas de nouveau film (que des visionnages de films déjà vus), idem pour les séries (enfin, on a regardé le premier épisode de Peaky Blinders, mais j'en parlerai plus tard, si/quand on continuera). Pour l'instant, je continue Gilmore Girls à un bon rythme et j'alterne avec des séries dont j'ai déjà parlé ici.

Et niveau bouquins ? Franchement, vu le boulot sur La Cité du Savoir qui a monopolisé mon cerveau, ce n'était même pas la peine d'essayer.

Par contre, j'ai fait beaucoup de couture (costume de Mirabel Magrigal pour ma plus jeune fille en cours).

Il reste beaucoup de broderies, mais j'avoue que c'est un costume pour lequel je cherche à faire un maximum de récup (j'ai juste acheté les trois couleurs de tissu pour la jupe : le reste, peinture et fil pour broder, j'écoule mon vieux stock et les petits fonds de pots !).

Et comme mes enfants sont en vacances, forcément, je ne travaille pas autant que d'habitude !


24 octobre 2022

[Writer's Week] du 17 au 23 octobre 2022

 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

J'ai rapidement corrigé "Les douze chaussures de Cendrillon" pour l'envoyer à mes Wonderfriends en bêta-lecture, mais l'essentiel de ma semaine a été consacré aux corrections de "La Cité du Savoir", qui sort en septembre 2023 chez Scrineo !

Je n'avais pas touché au texte depuis des mois (au moins 8) alors, avant toute chose, il me fallait le relire pour me remettre dans l'ambiance, dans le ton... et vérifier ce que j'avais finalement gardé dans cette dernière version ! (souvenez-vous, à une époque, il y avait deux énormes tomes, que j'ai réduit en un seul gros ).

La bonne nouvelle, c'est qu'il n'y a pas énormément de travail de fond (à force de corriger, j'avais fini par avoir quelque chose de bien, où reste quelques broutilles, mais rien d'insurmontable). Pour l'instant, c'est vraiment des petites touches dans le texte, ou une scène à renforcer... rien de grave.

Il y aura une deuxième phase, pour les corrections de forme, plus tard.

Je ne sais pas encore pour combien de temps j'en ai (j'ai relu tout le texte et traité quelques commentaires très simples), mais, dans tous les cas, il ne me faudra pas des mois !

Le livre de la semaine


Allison, Laurent Queyssi

Résumé :

1993 : l'année du bac pour Allison, qui attend le jour où elle pourra quitter sa petite ville terne. Heureusement, il y a la musique. Le groupe dans lequel elle joue de la basse, Sugarmaim, mais aussi tous ceux qu'elle écoute : Pixies, Ride, Sonic Youth, Slowdive ou Pavement. Puis il y a celui qui l'a fait littéralement planer, un matin d'hiver froid : My Bloody Valentine. En écoutant « Loveless », walkman sur les oreilles, la jeune fille décolle. Littéralement. Ses pieds ne touchent plus le sol. Elle lévite. Quand l'expérience se répète, Allison commence à s'inquiéter. Pourquoi est-elle ainsi transportée par la musique ? Est-elle malade ? A-t-elle hérité d'un étrange pouvoir que possédait son père, disparu quand elle était enfant ? Pour le découvrir,elle va devoir se perdre dans une salle de concert anglaise, à la recherche d'un auteur dont le personnage principal est atteint du même syndrome. Se perdre... et se retrouver ?

Comédie douce-amère sur l'adolescence, les origines et le passage à l'âge adulte, avec la musique des années 90 en fond sonore, Allison remixe L'Attrape-cœur avec John Hugues. Une histoire d'amour et de connaissance de soi hantée par la voix rauque de Kurt Cobain.

Mon avis :

Moi qui aime les années 90 pour les avoir abordées dans "Ascenseur pour le futur", j'étais curieuse de voir comment Laurent Queyssi l'avait fait. Le résultat est très chouette !

Pour moi, il y a quand même une étrangeté qui rapproche ce roman d'un univers imaginaire, à mes yeux, parce que je fais partie de ces gens qui n'ont pas besoin de musique pour vivre, du coup, tout est un peu exotique pour moi, dans ce rapport à la musique.

Le lycée où on fume des joints, etc, c'est aussi très éloigné de ce que j'ai vécu, donc j'ai lu ce livre un peu comme si j'observais une société inconnue (ce que j'aime, en général, avec la fantasy, donc tout va bien).

J'ai trouvé l'histoire touchante, par la quête du père qui devient une quête de soi. Et le style fonctionne très bien !

Sorties culturelles de la semaine

Alors, bon, OK, pas de "film de la semaine" cette fois-ci encore, et pas de théâtre, mais... de la danse ! Avec le spectacle "Malacca" de la compagnie Voltaïk (mix de danse contemporaine et de hip-hop).


Et sinon, dans le cadre du Festival Lumière, je suis allée écouter Tim Burton parler durant une interview en public pour France Inter !


 

Je n'avais pas eu de place pour aller à sa masterclass, et j'étais déjà engagée avec le spectacle de danse donc je ne pouvais pas aller à la remise du prix Lumière... donc, c'était quand même une bonne opportunité de le voir en vrai, et l'écouter !

Il y avait des fans hardcore qui avaient fait signer tous leurs DVDs, savaient où il logeait, où il mangeait... c'était un peu trop, limite effrayant. J'ai un peu regretté de ne pas avoir emporté "La triste fin du petit Enfant Huître et autres histoires", son livre illustré (par lui-même) qui reflète bien son univers, et que j'avais à la maison... j'aurais sans doute pu lui faire signer. Mais c'est pas le plus important !

Si vous voulez écouter l'émission en replay, c'est par là !



17 octobre 2022

[Writer's Week] du 10 au 16 octobre 2022

 

 
 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

Sans surprise, j'ai continué, et terminé mon histoire de Cendrillon revisitée ! Il fait donc partie de mes romans les plus rapides à écrire !

Je laisse un peu reposer (et je le fais lire à mes proches) avant de le corriger, puis ça partira en bêta-lecture chez les Wonderfriends des parapluies.

En tout cas, je me suis bien amusée !

Cette semaine, j'ai aussi fait pas mal d'administratif (on prépare les rencontres du printemps, avec des devis, des conventions, des dossiers pour le CNL ou Jeunes en Librairie...).

Et j'ai aussi préparé un petit dossier de présentation de "Sueurs Froides" pour d'éventuelles démarches côté adaptation audio-visuelle.

La semaine s'est terminée par une dédicace à la librairie "Les Cocottes Rousses", tout près de chez moi (c'est ma librairie ^^), et j'en suis très contente car, en général, les dédicaces en librairie c'est quitte ou double (on peut n'avoir absolument personne, et c'est très long, dans ce cas)... cette fois-ci, les lecteurs et lectrices étaient au rendez-vous ! Soit pour découvrir, soit pour prendre des romans qui leur manquaient dans ma bibliographie... un excellent moment qui fait du bien au moral !

 


La pièce de la semaine

 

Les Femmes de Barbe-Bleue, LISA GUEZ - Cie 13/31

Résumé :

Prix du jury et prix des lycéens d’Impatience, festival du théâtre émergeant, 2019

"On m’a raconté Barbe-Bleue quand j’étais petite… Je ne comprenais pas… pourquoi ces femmes se sont-elles fait tuer, pourquoi ouvrent-elles la porte ? méritent-elles de mourir pour ça ?"
Devenue adulte, Lisa Guez mettra en scène et questionnera ce conte. Qu’est-ce qui fait qu’on accepte de jouer la proie ? Quel prédateur sommeille en nous ?
Les cinq comédiennes, excellentes, invitent à une plongée dans nos imaginaires féminins, férocement drôle, cruellement lucide où la part du désir cohabite avec la crainte, entre fascination et répulsion. Les récits de chacune racontent l’emprise qu’elles ont subie, chacune avec sa sensibilité et son vécu. Ensemble et solidaires, elles lutteront contre l’envoûtement du pouvoir, contre leur démons intérieurs. Une bataille palpitante, pleine de suspense jusqu’à son dénouement jubilatoire.

Mon avis :

Pour changer du film de la semaine, cette fois-ci, focus sur une pièce de théâtre !

Alors, quand, avec le programme, on nous distribue un violentomètre, déjà ça donne le ton (et TW au besoin). 

J'ai particulièrement aimé le jeu excellent des comédiennes, et la modernisation par petites touches (il n'en fallait pas plus pour bien doser). L'idée de chercher ensemble comment elles auraient pu s'en sortir, façon thérapie post-mortem, fonctionne très bien. On les aime, on a envie de les aider. C'est dur, mais il y a assez de touches d'humour pour permettre de passer un bon moment...

La scénographie, avec simplement quelques chaises et un rideau éclairé par derrière pour la transparence en jeu d'ombre, fonctionne vraiment bien. Il y a de nombreux très bon choix (des codes couleurs des vêtements ou caractérisation des personnages physiquement ; des cheveux qui cachent le visage quand elles changent de voix pour faire les répliques de Barbe Bleue... tout marche).

C'est touchant, poignant, et important.


 Le Livre de la semaine


La Chronique des Rokesby, T2, Un petit mensonge, Julia Quinn

Résumé :

1779. Orpheline, Cecilia Harcourt quitte l'Angleterre et débarque à New York où elle espère retrouver son frère, blessé à la guerre. À l'hôpital, personne ne sait où est Thomas. En revanche, son meilleur ami Edward Rokesby est là. Blessé à la tête, il est amnésique. Démunie, ne sachant où aller, Cecilia prétend qu'Edward l'a épousée quelque temps plus tôt et le soigne avec dévouement. Au fil des jours, leur complicité grandit et Cecilia s'enferre dans le mensonge. Jusqu'au jour où le jeune homme, guéri, décide qu'il est temps de faire l'amour à sa délicieuse épouse...

Mon avis :

Enfin un tome à la dynamique un peu différente ! Il faut dire qu'on commence dans le vif du sujet, avec notre couple du jour prétendument déjà marié... un love-interest amnésique, un frère absent qu'on recherche, des quiproquos à gogo et des scènes de fesses qui changent un peu (rafraîchissant comparativement au tome précédent...).

Ajoutez à ça des vibes Hamilton (mais du côté des anglais, puisqu'on est en pleine guerre d'indépendance à New York), j'ai plutôt apprécié cette histoire !

Point bonus sur la façon de lancer le tome suivant dans l'épilogue, et, clairement, je valide pas mal cette série Rokesby pour l'instant !

10 octobre 2022

[Writer's Week] du 3 au 9 octobre 2022

 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

Vous vous souvenez, la semaine dernière, quand je vous parlais rapidement d'un projet secret ? Hé bien, vu que j'ai carrément bien avancé dans la rédaction, je peux vous en parler : il s'agit d'une revisite de Cendrillon, façon boucle temporelle (à la "un jour sans fin").

Pour l'instant, ça s'appelle "Les douze chaussures de Cendrillon" et, en volume j'ai... écrit 100 000 signes la semaine dernière.

Je sais que pour plein de gens, ça ne veut rien dire. Mais pour les personnes qui savent ce que ça représente, c'est énorme.

Pour vous donner une idée, Ascenseur pour le futur, c'est 88 000, et un tome de Fedeylins, c'est 500 000 signes. Autant vous dire que 100 000 signes en une semaine, c'est RARE. 

En plus, pour une fois, je me la joue jardinière (en comparaison à ma méthode de travail habituelle, où je suis très très architecte). J'avais fait un vague plan, mais je ne l'ai pas du tout respecté, et, alors que j'estime facilement le volume final, d'habitude, là, c'est un peu plus flou.

Mais je pense qu'il me faut 50 000 signes pour finir. Ce qui ne veut pas dire que ce sera génial, hein, si ça se trouve je vais couper la moitié et faire 7 ou 8 versions avant d'obtenir le bon angle. Mais en attendant, je m'éclate !

Je devrais écrire plus souvent ^^

Le film de la semaine


Les secrets de mon père, de Véra Belmont

Résumé :

Dans les années 60, en Belgique, Michel et son frère Charly vivent une enfance heureuse dans leur famille juive. Leur père, taiseux et discret, ne livre rien de son passé. Les deux frères l’imaginent en grand aventurier, pirate ou chercheur de trésors… Mais que cache-t-il ?

Adaptation de la bande dessinée Deuxième génération de Michel Kichka (éditions Dargaud).

Mon avis : 

C'est le film que je devais aller voir au festival d'Annecy, en juin (vous savez, quand j'ai été terrassée par le Covid...), du coup, il était évident que je devais rattraper ma séance dès que possible, à la sortie du film.

Je n'ai pas été déçue. Il y avait bien l'émotion que j'attendais, et j'ai aimé la façon d'aborder les questions autour de la religion. J'ai pleuré, mais pas pour ce que je pensais...

Et, d'une manière générale, j'ai beaucoup aimé les dessins : c'est le genre de traits qui me plaisent.

J'ai été un peu déstabilisée par l’insertion d'images d'archives (peut-être que j'aurais plus apprécié si je n'avais pas vu Flee récemment, qui en utilise aussi). Pour moi, ici, ce n'était pas forcément utile.

C'est une histoire très touchante, avec ce qu'il faut d'amertume pour se rappeler que c'est tiré d'une histoire vraie, et que, dans la vraie vie, les personnages ne sont pas aussi simples que dans certaines histoires. Tout en nuance de gris...


Le livre de la semaine


La chronique des Rokesby, Tome 1 "À cause de Mlle Bridgerton", Julia Quinn

Résumé :

1779, comté du Kent. Tout commence dans la résidence des Bridgerton, Aubrey Hall, une génération avant la naissance du premier des huit descendants d'Edmund et Violet Bridgerton.La demeure la plus proche, Crake House, est le fief des Rokesby et de leurs cinq enfants. Les deux familles se fréquentent, leurs bambins jouent et grandissent ensemble. Sybilla, la soeur d'Edmund, véritable garçon manqué, sait bien qu'un jour elle épousera l'un des quatre fils Rokesby. Enfin, plus précisément un des trois fils, car l'aîné, George, est un insupportable raseur. Or, le jour où Sybilla se blesse, George, seul témoin de l'accident, lui vient en aide. Et c'est ainsi qu' une facétie du destin va être à l'origine d'une saga familiale où les deux lignées vont s'unir pour le meilleur.

Mon avis :

Je n'avais pas du tout envie de lire, cette semaine. il faut dire que toute mon énergie et mon attention étaient portées sur la création (100 000 signes !!!). Lors d'une discussion, j'ai réalisé que, en phase d'écriture, je lisais peu, notamment parce que le style de l'auteur influence parfois mon propre style.

Or, dans mon histoire de Cendrillon, on a clairement des vibes Bridgerton, avec les bals, les grands gants... du coup, dimanche, je me suis dit que je pouvais rester dans l'ambiance avec ce premier tome des Rokesby, dont on m'avait dit qu'il serait moins bien que les Bridgerton...

Hé bien j'ai trouvé ça du même genre ! On retrouve ce qu'on aime, et, hélas, il y a les mêmes défauts (premier baiser à moitié dans la violence, limite agression, encore une fois, ce n'est pas émoustillant du tout ! Et les scènes de fesses qui se passent TOUJOURS pareil, sérieusement, chez Julia Quinn, tous les hommes font les mêmes mouvements, et toutes les femmes ont les mêmes réactions... sans oublier l'orgasme pendant le premier rapport sexuel, classique. *je lève les yeux en l'air très fort*).

Mais soyons honnêtes, ces scènes doivent représenter moins de 5% du roman, donc je lève un peu les yeux, mais le reste du temps, ça va, c'est sympa.

Et il y a une partie de pall-mal ! Rien que pour ça, c'est chouette.

Il faut que je lise le tome 2, parce qu'on m'a prêté cette édition regroupant les deux volumes, et je dois bientôt la rendre !


N'oubliez pas !


Samedi prochain (le 15/10) je dédicace à la librairie Les Cocottes Rousses de St Symphorien d'Ozon (69) de 15h à 18h !

3 octobre 2022

[Writer's Week] du 26 septembre au 2 octobre 2022


Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

À part un projet secret (éditorial), j'ai surtout travaillé sur mes scénarios (pour les Chevaliers de la Raclette et Ascenseur pour le futur) pour déposer des demandes d'aides.

On passera sur celle où ils ont déjà tellement de candidatures que ça repousse ma demande en mars, donc un peu difficile à encaisser quand on a bossé à fond dessus pour tenir la deadline...

Sinon, avec Silène Edgar, on a terminé les corrections de "Une semaine dans la peau de mon frère" et hop, c'est chez l'éditrice !

J'essaye aussi de ne pas oublier les textes en lecture chez différents éditeurs ("Passage-secret.com", "Mes cousines, le Yéti et moi", et "Quelques gouttes de Violet").

Bref, ça bosse dur !


Le livre de la semaine

 

 

Les quinze premières vies d'Harry August, Claire North

Résumé :

Harry August se trouve sur son lit de mort. Une fois de plus. 

Chaque fois qu'il décède, il naît de nouveau, au lieu et à la date exacts auxquels il est venu au monde la première fois, possédant tous les souvenirs des vies qu'il a déjà vécues. Au crépuscule de sa onzième vie, une petite fille apparaît à son chevet. « J'ai bien failli vous rater, docteur August, dit-elle. Je dois vous transmettre un message, passé d'enfant à adulte, d'enfant à adulte, remontant de génération en génération depuis un millénaire dans le futur. Le voici : la fin du monde approche, et nous ne pouvons pas l'empêcher. À vous de jouer. »

 

Mon avis :

Vous savez à quel point j'aime les boucles temporelles ? Bien sûr. Du coup, j'ai craqué sur ce roman, qui m'a plu, mais un peu déstabilisée par le choix d'une narration non linéaire (on passe d'une vie à l'autre avec des flashbacks pour couper la tension narrative du moment).

Je ne m'attendais pas à la direction prise, au choix sur les réflexions des personnages, mais je me suis laissée embarquer sans problème.

Le film de la semaine

 


Les Misérables, Tom Hooper

Résumé :

Dans la France du 19e siècle, une histoire poignante de rêves brisés, d'amour malheureux, de passion, de sacrifice et de rédemption : l'affirmation intemporelle de la force inépuisable de l'âme humaine.
Quand Jean Valjean promet à Fantine de sauver sa fille Cosette du destin tragique dont elle est elle-même victime, la vie du forçat et de la gamine va en être changée à tout jamais. 

Mon avis :

Vous connaissez ma passion pour les comédies musicales, je pense, à force de me suivre... mais je n'avais jamais regardé Les Misérables (en entier) pour plusieurs raisons : d'abord, parce que c'est l'un des rares romans que j'ai adoré durant ma scolarité (je l'ai lu deux fois, à une époque où je n'aimais pas lire, c'est dire). Ensuite, parce que j'étais tombée par hasard sur une scène avec Russel Crowe en Javert, et, clairement, c'est le point faible du film : il n'est pas crédible une seconde, et ne donne aucune émotion en chantant... bref, chaque fois que je le vois, je n'y crois pas.

Mais avoir découvert quelques chansons dans Glee (I dreamed a dream, et On my own) m'a convaincue d'essayer de voir le film en entier...

J'ai plutôt aimé (sauf Russel Crowe, donc). Ça m'a donné envie de relire les bouquins ^^

Mais je continue de penser que Neil Patrcik Harris aurait fait un meilleur Javert !

 

La série de la semaine

 


Uncoupled, de Darren Star et Jeffrey Richman (Netflix)

Résumé :

Michael pensait sa vie parfaite, jusqu’à ce que son mari le quitte subitement au bout de 17 ans. Le voilà confronté à ses deux pires cauchemars : perdre celui qu’il croyait être son âme sœur et se retrouver dans la peau d'un célibataire gay dans la quarantaine à New York. 

Mon avis :

Transition toute trouvée avec cette série récente de Neil Patrick Harris, qui se fait plaisir dans cette série sur un quarantenaire gay (lui qu'on avait mis dans des rôles de dragueurs, notamment dans How I met Your Mother).

On n'a pas encore tout vu, mais pas loin, et c'est une agréable petite série, pas prise de tête !