Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?
Sans surprise, j'ai continué, et terminé mon histoire de Cendrillon revisitée ! Il fait donc partie de mes romans les plus rapides à écrire !
Je laisse un peu reposer (et je le fais lire à mes proches) avant de le corriger, puis ça partira en bêta-lecture chez les Wonderfriends des parapluies.
En tout cas, je me suis bien amusée !
Cette semaine, j'ai aussi fait pas mal d'administratif (on prépare les rencontres du printemps, avec des devis, des conventions, des dossiers pour le CNL ou Jeunes en Librairie...).
Et j'ai aussi préparé un petit dossier de présentation de "Sueurs Froides" pour d'éventuelles démarches côté adaptation audio-visuelle.
La semaine s'est terminée par une dédicace à la librairie "Les Cocottes Rousses", tout près de chez moi (c'est ma librairie ^^), et j'en suis très contente car, en général, les dédicaces en librairie c'est quitte ou double (on peut n'avoir absolument personne, et c'est très long, dans ce cas)... cette fois-ci, les lecteurs et lectrices étaient au rendez-vous ! Soit pour découvrir, soit pour prendre des romans qui leur manquaient dans ma bibliographie... un excellent moment qui fait du bien au moral !
La pièce de la semaine
Les Femmes de Barbe-Bleue, LISA GUEZ - Cie 13/31
Résumé :
Prix du jury et prix des lycéens d’Impatience, festival du théâtre émergeant, 2019
"On m’a raconté Barbe-Bleue quand j’étais petite… Je ne
comprenais pas… pourquoi ces femmes se sont-elles fait tuer, pourquoi
ouvrent-elles la porte ? méritent-elles de mourir pour ça ?"
Devenue
adulte, Lisa Guez mettra en scène et questionnera ce conte. Qu’est-ce
qui fait qu’on accepte de jouer la proie ? Quel prédateur sommeille en
nous ?
Les cinq comédiennes, excellentes, invitent à une plongée dans
nos imaginaires féminins, férocement drôle, cruellement lucide où la
part du désir cohabite avec la crainte, entre fascination et répulsion.
Les récits de chacune racontent l’emprise qu’elles ont subie, chacune
avec sa sensibilité et son vécu. Ensemble et solidaires, elles lutteront
contre l’envoûtement du pouvoir, contre leur démons intérieurs. Une
bataille palpitante, pleine de suspense jusqu’à son dénouement
jubilatoire.
Mon avis :
Pour changer du film de la semaine, cette fois-ci, focus sur une pièce de théâtre !
Alors, quand, avec le programme, on nous distribue un violentomètre, déjà ça donne le ton (et TW au besoin).
J'ai particulièrement aimé le jeu excellent des comédiennes, et la modernisation par petites touches (il n'en fallait pas plus pour bien doser). L'idée de chercher ensemble comment elles auraient pu s'en sortir, façon thérapie post-mortem, fonctionne très bien. On les aime, on a envie de les aider. C'est dur, mais il y a assez de touches d'humour pour permettre de passer un bon moment...
La scénographie, avec simplement quelques chaises et un rideau éclairé par derrière pour la transparence en jeu d'ombre, fonctionne vraiment bien. Il y a de nombreux très bon choix (des codes couleurs des vêtements ou caractérisation des personnages physiquement ; des cheveux qui cachent le visage quand elles changent de voix pour faire les répliques de Barbe Bleue... tout marche).
C'est touchant, poignant, et important.
Le Livre de la semaine
La Chronique des Rokesby, T2, Un petit mensonge, Julia Quinn
Résumé :
1779. Orpheline, Cecilia Harcourt quitte l'Angleterre et débarque à New York où elle espère retrouver son frère, blessé à la guerre. À l'hôpital, personne ne sait où est Thomas. En revanche, son meilleur ami Edward Rokesby est là. Blessé à la tête, il est amnésique. Démunie, ne sachant où aller, Cecilia prétend qu'Edward l'a épousée quelque temps plus tôt et le soigne avec dévouement. Au fil des jours, leur complicité grandit et Cecilia s'enferre dans le mensonge. Jusqu'au jour où le jeune homme, guéri, décide qu'il est temps de faire l'amour à sa délicieuse épouse...
Mon avis :
Enfin un tome à la dynamique un peu différente ! Il faut dire qu'on commence dans le vif du sujet, avec notre couple du jour prétendument déjà marié... un love-interest amnésique, un frère absent qu'on recherche, des quiproquos à gogo et des scènes de fesses qui changent un peu (rafraîchissant comparativement au tome précédent...).
Ajoutez à ça des vibes Hamilton (mais du côté des anglais, puisqu'on est en pleine guerre d'indépendance à New York), j'ai plutôt apprécié cette histoire !
Point bonus sur la façon de lancer le tome suivant dans l'épilogue, et, clairement, je valide pas mal cette série Rokesby pour l'instant !
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