3 avril 2017

Sur quoi je travaille ?

C'est une vrai question : sur quoi est-ce que je vais travailler maintenant ? Parce qu'il y a plein de réponses possibles, plein de romans qui attendent d'être corrigés depuis longtemps... ils sont sages, ils attendent leur tour, mais il faut bien se décider sur un !

* J'ai traversé la route (anciennement "Comment je suis devenue un robot") est en lecture chez une de mes wonderfriends, donc il attendra encore un peu.

* Poumon Vert est en lecture auprès de mon pôpa, qui, pour une fois, à droit de lire le manuscrit avant les lecteurs car il m'a soufflé une des idées du roman, et je trouve normal qu'il puisse voir comment je l'ai traitée. Et puis, j'ai envie d'avoir son avis avant de le corriger pour le proposer aux éditeurs.

* Le Projet Patinoire, c'est un projet de roman d'horreur comme Seuls les alligators vous entendront crier, mais, comme son nom l'indique, dans une patinoire... là, le roman n'est pas encore écrit, j'ai "juste" fait la préparation et la trame détaillée : j'attends le feu vert du directeur de collection (ou les ajustements) avant de l'écrire.

* Jivana. Je n'attends plus rien, j'ai tous les retours de bêta-lecteurs. Il faut que je corrige. J'ai toutes les cartes en main. Il n'y a plus qu'à. Mais... 

* Papa de Papier. Si tout va bien, c'est le prochain roman de moi qui sera publié (en 2018). J'ai un accord de principe et une liste de choses à corriger pour améliorer les 30% du roman qui ne sont pas encore au maxi de leur potentiel (notons que 70% fonctionnent assez pour que l'éditeur dise oui !).

Donc, c'est décidé, cette semaine je me focalise sur Papa de Papier. D'une part parce que c'est le projet le plus avancé, d'autre part parce que le texte est court, donc les corrections peuvent aller vite (si l'un des 3 premiers bouquins cité avance dans la semaine avec un retour d'une personne que j'attends, je sais que je pourrais me lancer bientôt, alors que si j'attaque les corrections de Jivana, ça risque de me prendre plusieurs semaines. Et je n'aime pas entrecouper les corrections à cause de salons, par exemple).

Bref, il n'y a plus qu'à relire le texte avec un œil neuf (grâce à quelques mois de repos) + les notes sur les corrections à portée de main. Et zou !


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