Je sais, gentil.le lecteur.ice de ce blog, je te délaisse.
Pour tout t'avouer, je n'ai même rien lu ce mois-ci, qui aurait vaguement fait illusion pour remplir un peu ces pages...
Alors quoi ?
Ben, je bosse, pardi ! Je suis à fond sur "La Cité du Savoir" ! La fin approche (c'est pour cette semaine. Je visais fin novembre, mais si c'est tout début décembre, ça ira aussi).
J'ai passé plusieurs blocages de l'intrigue qui m'ont obligée à revenir en arrière pour modifier (c'est très étonnant comme, quand on bloque, il suffit de remonter, modifier une réponse pour dire l'inverse ("oui", devient "non") et la suite se déroule alors bien plus logiquement !).
Vraiment, sur ce roman, je perds mes repères. D'habitude, je suis capable de calibrer à 10 000 signes près, sur la base du synopsis de travail : là, c'est n'importe quoi. D'ailleurs, mon synopsis de travail, ça fait un moment que je ne le regarde plus, tellement il n'a plus de sens par rapport aux modifications.
Hé oui, même les architectes changent parfois de méthode !
C'est un métier ou il n'y a pas de formule qui fonctionne à 100% : ce qui fonctionnera pour une personne ne sera pas du tout adaptée à une autre, et pour une même personne, ce qui marche sur un roman ne peut pas être reproduit sur un autre.
Une fois que j'aurais (enfin) terminé ce premier jet complet, le manuscrit ira se reposer jusqu'en janvier, ou une bonne relecture s'enchaînera avec de bonnes grosses corrections, et, surtout, des coupes (parce que bon, là, plus de 700 000 signes pour un roman jeunesse - pas vraiment YA, hein, plutôt la tranche d'âge en dessous - ben c'est trop).
Et en décembre, c'est le retour de la vengeance des corrections sur "Devine de quand je t'appelle" !
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