Writer's Week #12

État d'esprit de la semaine

Cette semaine, l'ambiance n°1 était à la bêta-lecture des textes pour les élèves de Neuchâtel (enfin, La Chaux de Fonds). Autant vous dire que j'ai été coincée dans une boule à neige toute la semaine ! (c'était le thème de l'atelier).

L'ambiance N°2 c'était la sortie de "Seuls les alligators vous entendront crier" jeudi ! Les premières (bonnes) chroniques commencent à tomber, et ça fait très plaisir de voir que, même dans un genre différent, mes histoires peuvent plaire à des lecteurs...


L'ambiance N°3, c'était une matinée de rencontre vendredi, dans les Monts d'Or, pour ne pas perdre la main !

Ma (vraie) vie cette semaine 

Un peu la course ! Et un moral pas toujours au top (la fatigue joue sur mes nerfs).

Sans oublier l'anniversaire de MaGrande !

Angel Cake

La question de la semaine 

 

Je passe pour cette semaine ! Mais n'hésitez pas à m'en poser pour la semaine prochaine ;) 

Le livre de la semaine

Deux livres cette semaine :

Comment on écrit des histoires, de Yaël Hassan & Roland Fuentès

Petit guide sous forme de témoignages de deux auteurs qui répondent aux questions de leurs personnages (qui veulent devenir écrivains). Et quelques petits exercices ludiques pour ceux qui ont envie d'écrire.

 

Plutôt sympa (même si je n'applique pas les mêmes méthodes, c'est ça qui est bien : on voit le point de vue de deux auteurs précis, pas des conseils généraux pour tout le monde).

 

 

Comment j'ai écrit un roman sans m'en rendre compte, Annet HUIZING

Résumé :

" Le lecteur doit vivre ce que tu vis ", avait dit Lidwine. Mais qu'est-ce que je vivais au juste ? J'avais pas l'air maligne avec mon rêve de devenir écrivaine. Et là, une idée m'est venue. J'allais raconter comment Dirkje était entrée dans notre vie. J'ai ouvert mon ordinateur portable et j'ai retroussé mes manches. Mais mes doigts sont restés immobiles sur le clavier. Avant d'en venir à Dirkje, il faudrait d'abord que j'écrive que ma mère n'est plus là, et que je parle de mon père et de Kalle, de notre maison et du fait qu'on ne mange jamais à table. Je devais commencer par le commencement. Mais où commençait le commencement ? Il était une fois une fille à Hilversum ?

J'avoue : le titre ne me disait rien, et la couverture non plus. Mais suite à une discussion avec l'éditrice, j'ai été curieuse de le découvrir quand même... et c'est en train de devenir mon nouveau roman préféré (oui, même devant l'Assassin Royal).

C'est un vrai roman, et en même temps, une belle leçon d'écriture mais les deux mains dans le cambouis. C'est bourré d'émotions (j'ai pleuré. Plein de fois). Et je pense que tous ceux qui écrivent (ou ont envie d'écrire) devraient lire ce roman au moins une fois. Moi, perso, j'ai déjà envie de le relire 10 fois, alors que je ne relis pas souvent les romans vu ma PAL.

Il est juste génial. C'est au delà du coup de cœur. C'est mon nouveau livre préféré. (Je crois que vous avez compris).

 

Revue de presse 

Une chronique de l'Empire des Auras sur le blog "Les Reines de la nuit" : "Une belle histoire, bien écrite, émouvante qui, je l'espère, en fera réfléchir certains et ne laissera personne indifférent !"

Et trois chroniques pour "Seuls les alligators vous entendront crier" #Bayou :

Sur le webzine littéraire des Bouquinautes :  "Un univers bien maîtrisé, des personnages bien définis, du voodoo et des descriptions à vous faire trembler. Tous les ingrédients réunis pour une lecture des plus angoissantes."

Sur le blog de Ptitefle :  "Pas besoin de sérial killer mais d'une conséquence d'actes qui éveillent nos peurs profondes et inconscientes."

Sur le blog Le bar à livres :  "J'ai lu ce livre comme on regarde un film et imaginé toutes les scènes avec un réalisme fou grâce aux détails et à la façon dont l’auteur nous fait pénétrer dans cette ambiance très sombre."

Conclusion

Je suis contente que la sortie du Bayou se passe bien (même si je suis un peu fatiguée !).
Et lisez "Comment j'ai écrit un roman s'en m'en rendre compte". Sérieusement, faites le.
 
Plus qu'une grosse semaine de rencontres en Bretagne, et je pourrais (enfin) me remettre à écrire !