Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?
Après un démarrage consacré à mes scénarios (notamment sur les Chevaliers de la Raclette), je suis partie pour Hypermondes, festival de SF dont c'était la deuxième édition, à Mérignac, près de Bordeaux.
J'ai rencontré des classes jeudi, et vendredi (dont plusieurs lors de tables rondes avec mes collègues Yves Grevet, Christian Grenier et Cindy Van Wilder, ici en photo, avec Silène Edgar à la modération).
J'ai vu une magnifique expo de Luc Schuiten (et j'ai même appris à prononcer son nom, parce que ce n'est pas "chuitaine").
Des retrouvailles avec des collègues, la rencontre de lecteurs et lectrices, des échanges passionnants...
Bref, c'était un super salon !
Et, dans le cadre du projet Pierre Witch (où des auteurs et autrices de SF réalisent un court-métrage avec un téléphone portable), mon premier court-métrage "Le petit ongle qui ne voulait pas être coupé" a été diffusé dimanche !
La série de la semaine
Gilmore Girls, de Amy Sherman-Palladino (Netflix)
Résumé :
Gérante d'une auberge à Stars Hollow, petite ville du Connecticut
peuplée d'habitants hauts en couleur, Lorelai Gilmore élève seule sa
fille Rory, qu'elle a eu à l'âge de 16 ans. Toutes deux entretiennent
une relation mère-fille très forte, qui fait d'elles avant tout des
amies, et naviguent ensemble à travers les différents obstacles de la
vie.
Mais lorsque Rory est acceptée dans un prestigieux lycée
privé grâce à ses brillants résultats scolaires, Lorelai, qui s'est
éloignée de son milieu social d'origine il y a longtemps, ne va avoir
d'autre choix que de demander de l'aide financière à ses parents. Une
décision qui va changer sa vie, ainsi que celle de sa fille...
Mon avis :
Plusieurs personnes (Silène Edgar en tête) m'ont parlé de cette série que je n'avais jamais vue... j'ai donc commencé les deux premiers épisodes. Pour l'instant, ce n'est pas aussi drôle que je l'esperais, mais je pense que, comme série un peu doudou, ça peut le faire. À voir si j'ai le temps de regarder les 7 saisons !
Le livre de la semaine
L'abîme au-delà des rêves, Les naufragés du Commonwealth T1, Peter F. Hamilton
Résumé :
Pour sauver leur civilisation, il doit la détruire...
Alarmé par la menace représentée par le Vide au centre de notre galaxie, Nigel Sheldon, créateur de la société du Commonwealth, part en expédition vers cette mystérieuse région de l'espace. Or, en atterrissant sur la planète Bienvenido au sein du Vide, Nigel va découvrir bien plus que ce qu'il venait chercher. Un monde peuplé des descendants des survivants de vaisseaux colons ayant quitté le Commonwealth des siècles plus tôt y affronte un terrible ennemi : les « Fallers », des prédateurs spatiaux artificiellement modifiés qui utilisent la télépathie et la métamorphose pour appâter leurs victimes. Très vite, cependant, Nigel fait une autre découverte : ces créatures pourraient bien détenir la clé de la destruction du Vide lui-même. Il existe donc une chance de salut... si Nigel vit assez longtemps pour accomplir sa mission.
Mon avis :
J'ai acheté ce roman après ma rencontre avec Peter Hamilton aux Aventuriales l'année dernière, et, quand même, un an sur la PAL, c'est un bon moment pour l'en sortir !
Sauf que je ne savais pas du tout de quoi parlait le bouquin (je l'ai acheté parce que c'était le dernier tome 1 présent, pour découvrir le travail de Peter Hamilton), et que j'ai commencé dans le train pour Hypermondes... avec très vite, l'envie de le poser. Clairement de la SF old-school avec plein de choses que je n'aime pas.
Bon, je me suis accrochée, et autour de la page 100 (sur 800 pour ce tome 1), j'ai commencé à éprouver de l'empathie pour les personnages et l'envie de savoir ce qui va leur arriver.
MAIS (c'est un gros mais), en lisant le 4e de couverture, je me suis rendue compte que... le héros dont il est question dans le résumé n'est pas encore apparu dans ce que j'ai lu ! Du coup, ça me décourage.
Alors je préfère le mettre de côté pour l'instant, et le continuer plus tard. Je n'abandonne pas, mais, clairement, il me faut le bon état d'esprit pour le lire !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire