25 septembre 2023

[Writer's Week] du 18 au 24 septembre 2023

 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

Le gros évènement de la semaine, c'est le début de mon travail sur Discrète ! C'est donc un roman dont j'ai eu l'idée en février 2019, et pour lequel j'ai posé une trame l'année dernière je crois... mais je n'avais pas le temps de l'écrire, trop d'autres romans prioritaires. Cette fois-ci, c'est son tour !

Comme c'est un roman de fantasy, un peu dans l'esprit des Fedeylins, ça me demande beaucoup de concentration pour créer  tous les détails qui ajoutent au réalisme... du coup, je vais beaucoup moins vite que sur d'autres histoires. Mais l'important, c'est de commencer, et d'avancer régulièrement. Il finira par exister !

 

J'ai aussi travaillé un peu sur l'Exquis-Mot, parce que j'avais besoin d'un synopsis... et d'habitude, j'ai déjà la trame que j'écris avant la rédaction, mais pas pour celui-ci qui est arrivé un peu spontanément... du coup, j'ai fait le travail "à l'envers" par rapport à mes habitudes (mais j'ai survécu).

Je vous passe mon implication associative qui me prends beaucoup de temps en ce début d'année scolaire, mais ça ne peut pas compter dans mon travail, puisque je suis bénévole !

Sinon, sur Instagram, les premières chroniques pour Une semaine dans la peau de mon frère arrivent, à quelques jours de la sortie ! (elles sont positives, ça fait plaisir !).

Le film de la semaine


Downton Abbey II : Une nouvelle ère de Simon Curtis

Résumé :

1928. Les Crawley et leurs domestiques assistent tous au mariage de Tom Branson et de Lucy Smith, fille de Lady Bagshaw. Lord Grantham explique à ses proches que le notaire de famille se rendra prochainement à Downton, à la demande de la Douairière, et qu’il compte sur leur présence à tous. En effet, Violet a hérité d’une villa dans le sud de la France qu’elle souhaite à son tour léguer à la fille de Lady Sybil et de Branson. Mais cette décision met celui-ci mal à l’aise.
Sans comprendre pourquoi le regretté marquis de Montmirail s’est montré aussi généreux avec sa mère, Lord Grantham reçoit un appel téléphonique intriguant : un certain M. Barber, réalisateur pour le cinéma, souhaite tourner son nouveau film muet, The Gambler, à Downton Abbey. Si Robert estime que l’idée est grotesque, Lady Mary, de son côté, considère qu’il est difficile de refuser l’offre de la production face aux travaux de rénovation qui attend la famille. Grantham doit bien reconnaître que c’est désormais sa fille qui est aux commandes. Chez les domestiques, la perspective d’un tournage à Downton provoque un vif émoi. Daisy et Anna se réjouissent de voir leurs idoles de cinéma en chair et en os, mais Mme Hughes se demande comment annoncer la nouvelle à M. Carson.
Tandis que la production s’apprête à investir la propriété, la famille envisage de fuir le chaos qui s’annonce et d’en profiter pour découvrir la villa du sud de la France et rencontrer le nouveau marquis de Montmirail…

Mon avis :

C'est très amusant de voir comme on peut complètement ignorer l'existence d'une intrigue (ou non) quand on retrouve des personnages qu'on aime tant. C'est l'envie de savoir ce qui leur est arrivé depuis la dernière fois, prendre des nouvelles, qui prime. Parce que si on prend du recul sur ce qu'il se passe réellement dans le film, c'est une succession de soufflés qui dégonflent. Les enjeux présentés comme forts, deviennent mineurs. Et ce n'est pas grave. On passe un excellent moment, on revoit tout le monde, et on verse même une petite larme ou deux.

Bref, ça fonctionne.

La série de la semaine


Sense8, de Lilly Wachowski, Lana Wachowski et J. Michael Straczynski (Netflix)

Résumé :

Huit individus éparpillés aux quatre coins du monde sont connectés par une soudaine et violente vision. Désormais liés, ils se retrouvent capables du jour au lendemain de se voir, de se sentir, de s'entendre et de se parler comme s'ils étaient au même endroit, et ainsi accéder aux plus sombres secrets des uns et des autres. Les huit doivent dès lors s'adapter à ce nouveau don, mais aussi comprendre le pourquoi du comment. Fuyant une organisation qui veut les capturer, les tuer ou faire d'eux des cobayes, ils cherchent quelles conséquences ce bouleversement pourrait avoir sur l'humanité.

Mon avis :

J'ai presque terminé la seconde saison (qui est donc la dernière) et, même si cette série n'est pas parfaite, j'aime beaucoup ! 

Bon, il faudrait de plus gros TW sexe/drogue/suicide/violence (même s'ils sont là, c'est vraiment un avertissement léger par rapport au contenu) et pourtant, quand j'en parle autour de moi, on qualifie cette série de "choupi" ou "qui fait du bien". Je comprends ce paradoxe, car s'il y a une vraie part sombre dans tout ça, la part d'espoir lumineux est suffisante pour ne pas tomber dans la morosité.

Des inventions visuelles qui fonctionnent, des personnages très vite caractérisés et attachants... Une réussite !

Les livres de la semaine

 


La rivière à l'envers 2 : Hannah, de Jean-Claude Moulevat

Résumé :

La suite de La rivière à l'envers ! Hannah raconte les aventures qui l'ont conduite jusqu'au village de Tomek, au bout du désert, à la recherche de l'eau qui rend immortel.

Dans La rivière à l'envers, Tomek nous entraînait dans son incroyable quête : trouver la rivière Qjar et son eau qui empêche de mourir. Nous marchions avec lui sur les pas de Hannah. Cette fois-ci, c'est Hannah elle-même qui raconte son voyage sur la vertigineuse Route du Ciel, puis à travers le désert. Son récit nous fait découvrir des contrées nouvelles, mais on y retrouve aussi des paysages connus : la Forêt de l'Oubli, la prairie, l'océan...

Mon avis :

J'avais lu (et beaucoup aimé) la première partie en février (voir ma Writer's Week) et j'étais curieuse de cette suite, qui promettait de couvrir l'aventure d'Hannah, parallèle à celle de Tomek... et j'ai été un peu déçue. Parce que, dès le départ, Hannah raconte à Tomek, donc tout le texte est passif, on ne craint jamais pour elle puisqu'on sait qu'elle s'en sort. Ce qui m'intéressait le plus (la partie avec le mystérieux Podcol) est complètement survolée, pour s'intéresser à d'autres moments, certes poétiques et originaux, mais ou on s'ennuie un peu (encore une fois, le fait de savoir la fin n'aide pas). Je ne sais pas quelle aurait été la bonne solution, mais en tout cas, j'ai trouvé dommage et je suis passée un peu à côté.

 


La belle et la bête, suivi de L'oiseau bleu, de Jeanne-Marie Leprince De Beaumont et Marie-Catherine Aulnoy

Résumé :

La Belle est prisonnière d'une Bête terrible. Quant à l'Oiseau Bleu, c'est un prince métamorphosé par une fée. L'éternel combat des fées contre les sorcières.

Mon avis :

On connait tous l'histoire de la Belle et la Bête, et c'est intéressant de revenir au conte original pour savoir ce qui a été gardé ou laissé de côté dans les différentes adaptations. On retrouve ce pourquoi on aime l'histoire, et on apprécie les changements intéressants...

Quant à l'oiseau bleu, je ne connaissais pas le conte, que j'ai découvert avec plaisir. Il y a des choses qui m'ont gênées (genre la caractérisation de la fille moche), mais c'est globalement sympathique.

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