2 octobre 2013

Ma drogue

Parfois, on demande aux auteurs à quoi ils carburent pour écrire (en sous entendant qu'ils doivent au minimum snifer de la coke tellement c'est pas possible d'être maso au point de choisir un métier pareil et/ou d'écrire des trucs pareils). 

En général, à ce genre de question, je réponds "le chocolat". Et c'est vrai. De mon côté, quand j'ouvre mon document word pour commencer un nouveau chapitre, il me faut au moins deux carreaux de chocolat au lait (oui, hurlez bandes de frénétiques du chocolat noir comme étant le seul, l'unique, moi, je l'aime au lait) avant de me mettre à écrire.

Vous me direz, ce n'est pas très raisonnable pour ma ligne, et je répondrais "flûte" (parce que je suis polie), vu qu'en fait, d'après les calories que brûlent mon cerveau pendant une séance d'écriture, ça va. [toi aussi, écrit 10 000 signes en deux heures, et après on en reparle].

Mais depuis quelques temps, j'ai plongé dans la drogue dure : les chocoletti lait, praliné, noisettes.


J'avais déjà goûté quand j'étais gamine, puis oublié... et dernièrement, je suis tombée dessus au détour d'un supermarché, m'en suis souvenue et paf. Nouvelle drogue d'écriture approuvée.

Tout ça pour dire que si vous me croisez en salon ou en séance de dédicaces, que vous êtes choupinous et que vous aimez mes romans (ou juste choupinou, ça ira), vous pouvez m'offrir des chocoletti. Tant que vous voulez ! Pour soutenir la création, tout ça. Merci.

Bon, je vous laisse, j'ai dix mille signes à écrire ce soir, et, maintenant que j'ai pris la photo, le paquet peut disparaître...

3 commentaires:

  1. haha ! J'ai exactement la même addiction (le chocolat au lait vaincra).

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  2. Whéééé ! Chocolat au lait power !

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  3. Je n'avais jamais pensé qu'on brulait des calories en ecrivant. Je suis rassurée. :)
    Moi, c'est le chocolat noir.

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