23 juin 2025

[Ma semaine] du 16 au 22 juin 2025

 

Sur quoi j'ai travaillé cette semaine ?

 

Cette semaine, j'ai enfin trouvé le bon rythme pour les corrections de Stage Temporel pour Oublier son Portable (ou S.T.O.P de son petit nom). J'ai terminé cette vague là, et le texte est reparti chez l'éditrice !


J'ai aussi fait un peu de bêta-lecture pour ma chère Silène Edgar ! J'aurais pu compter ce roman dans mes lectures de la semaines, mais comme j'ai un autre livre à présenter, il sera classé dans le travail, même si c'était plus de plaisir qu'autre chose !

Le film de la semaine

 


Matilda, la comédie musicale, de Matthew Warchus (Netflix)

Résumé :

Toute nouvelle adaptation de la comédie musicale primée aux Tony Awards et aux Laurence Olivier Awards, "Matilda : La comédie musicale" raconte l'histoire d'une fillette extraordinaire à l'imagination débordante qui décide de changer le cours de son destin avec des résultats qui dépassent toutes ses espérances. 

Mon avis :

J'avais entendu beaucoup de bien de cette adaptation et même si je n'ai pas (encore) lu le roman, ni vu le précédent film (pas musical), j'étais curieuse de le découvrir.

Hé bien, c'était chouette ! Des numéros musicaux bien rodés, des chansons qui fonctionnent, une histoire à plusieurs couches qui mettent de la profondeur, et des acteurs au top.

J'ai passé un très très bon moment !

Le livre de la semaine


Dès que sa bouche fut pleine, de Juliette Oury

Résumé :

Un premier roman truculent et ingénieux

Un monde où la place du sexe et celle de la nourriture sont inversées. On écoute le journal radiophonique de 7 heures pendant le rapport sexuel du matin.
La pause masturbatoire de midi se partage entre collègues. Mais mitonner un bon petit plat relève de la sphère la plus intime. Des cours de cuisine clandestins s'organisent.
Lætitia, en couple avec Bertrand, s'ennuie ferme dans un quotidien fait de barres nutritives sans saveur. Elle se réveille un jour tenaillée par un mal de ventre terrible et... une faim de loup. Il est temps
pour elle de partir à la recherche de la nouveauté et de l'interdit.
Une quête d'émancipation où l'héroïne se heurte à la pression de la société et de ses proches, mais aussi au tabou d'une cuisine enfin libérée.

Mon avis :

Ce roman m'a été conseillé par mon amie Lise Syven, qui pensait qu'il me plairait (sans doute à cause de mon travail sur le rapport à la nourriture dans Quelques gouttes de Violet). 

Même si l'idée de départ est intéressante, j'avoue que la façon de traiter la sexualité m'a mise très mal à l'aise. J'ai préféré la question autour de la cuisine, et les tabous liés à ça dans cet univers différent du nôtre.

L'autrice a poussé le concept jusqu'au bout (sauf peut-être sur appellation "bouche de métro" qui aurait mérité une revisite selon moi).

En un sens, ça m'a fait penser à "La chute du British Museum" que j'ai lu il y a peu : pas du tout pour les péripéties, très différentes, mais pour la question centrale autour de la sexualité, sans doute. Bon, les deux romans n'ont rien à voir, mais sensoriellement, je les associe un peu.

Je ne peux pas dire que j'ai adoré. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé. Certaines scènes sont venues appuyer sur des déclencheurs de trauma, ce qui a ajouté à mon malaise.

Pourtant, je l'ai lu en deux jours, sans envie de le lâcher parce que c'était trop dur ou pas assez plaisant.

Compliqué d'en parler, donc. C'est forcément pour public averti. 

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