Santorin... une ambiance inspirante pour le projet ! |
Pour ceux qui l'ignorent, dans les dossiers de bourse, il est (toujours ?) demandé un extrait du projet. Parfois un ou deux chapitres. Parfois plus.
Ici, la demande porte sur 25 pages (j'ai compté, ça représente à peu près 50 000 signes).
Un gros morceau, donc, pour un projet qui attendait depuis plusieurs mois que je m'y penche (enfin) pour le développer. J'avais un peu peur de mettre du temps à trouver "le bon ton", mais, finalement, c'est allé assez vite. Je prends beaucoup de plaisir à plonger dans cet univers nouveau, et je connais déjà bien les personnages... d'ailleurs j'ai de la peine à les quitter bientôt pour reprendre mes corrections de Poumon Vert (qui n'a toujours pas de meilleur titre). Mais c'est ce qu'il y a de plus raisonnable à faire. Pas écrire au moins tout l'acte 1 alors que mon clavier me démange (pis il y a une scène super qui arrive et que je veux VOIR !!!). Non. Aller au bout d'un chapitre de plus d'accord, mais patienter pour le reste.
Terminer mes 25 pages [j'en suis à 21, soit 46 000 signes, autant vous dire que la deadline me stresse beaucoup moins que quand je n'avais pas commencé ! En plus, comme je m'éclate à l'écrire, je n'ai pas trop de doute sur le potentiel de l'histoire (en toute modestie, hein) : si je prends du plaisir, normalement, le lecteur en prendra aussi !] et puis laisser le roman de côté pour terminer les corrections avant mi-mars (c'est jouable).
J'avoue qu'après avoir enchaîné les corrections de 3 romans d'affilée, et n'avoir écrit que de petits projets autour de 30 000 signes, me remettre à l'écriture pure d'un gros pavé (pour les fans des chiffres, d'après mes estimations, La Cité du Savoir devrait peser entre 400 000 et 450 000 signes au final) hé ben ça fait du bien !!!
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