6 septembre 2018

1Q84 (T1), Haruki Murakami





Résumé :  

Entre l'an 1984 et le monde hypnotique de 1Q84, les ombres se reflètent et se confondent. Unies par un pacte secret, les existences de Tengo et Aomame sont mystérieusement nouées au seuil de deux univers, de deux ères... Une odyssée initiatique qui embrasse fantastique, thriller et roman d'amour, composant l’œuvre la plus ambitieuse de Murakami.

Mon avis :

Mitigé.
Il y a quelques éléments intéressants qui me donnent envie de lire le tome 2 (un jour), mais, globalement, il m'a fallu 300 pages (sur 500) pour commencer à voir un intérêt à ma lecture (j'ai bon espoir que les éléments intéressants se développent dans la suite, et que cette impression ne se reproduise pas).

On ne peut pas dire que ce soit un problème de style, mais, je ne sais pas... les enjeux ne sont pas clairs pendant longtemps.
J'ai eu l'impression de lire une succession de fiches de personnages, avec beaucoup trop de scènes de sexe qui ne servent pas à grand chose (on dirait le quota obligatoire d'une série netflix, où, si on ne voit pas un sein par épisode, ça ne va pas !). À propos de seins, l'auteur bloque sur chaque femme qu'on croise pour savoir comment est sa poitrine, ses mamelons, est-ce qu'ils sont gros ou petits, leur forme, leur symétrie, et le point de vue de l'héroïne à leur sujet. Alors, OK, moi aussi ça m'arrive de faire en sorte que mes personnages s'y intéressent mais seulement dans le cas où ça sert l'histoire ! (là, bof).
Sans compter les 150 pages (environ) qui pourraient être supprimées parce qu'il s'agit de répétitions d'informations qu'on a déjà (plusieurs fois).

J'avais choisi ce livre pour l'été, comme Mörk, dans l'idée de sortir de ma zone de confort, et changer un peu... au final, ça me conforte dans mon amour pour la littérature YA et la richesse (générale) de la littérature jeunesse.

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